ID Notice | CPF86633760 |
Titre propre | Les Habits Noirs : 1er épisode |
Titre collection | Les Habits Noirs |
Chaîne de diffusion | 1ère chaine |
Date de diffusion | 16/10/1967 |
Jour | lundi |
Statut de diffusion | Première diffusion |
Heure de diffusion | 19:40:00 |
Heure de fin de diffusion | 19:53:53 |
Durée | 00:13:53 |
Thématique | Intrigue policière ; Fiction |
Genre | Feuilleton ; Adaptation |
Type de description | Episode ou partie d'un programme |
Générique | REA,Lucot René ; ADA,Siclier Jacques ; DIA,Siclier Jacques ; MUSO,Bessières Louis ; AUT,Féval Paul ; IMA,Sandoz Gilbert ; DEC,Vaster Gilles ; COC,Catulle Claude ; INT,Bernard Jean Pierre (André Maynotte) ; INT,Dancourt Julia (Julie Maynotte) ; INT,Calvé Jean François (Lecoq) ; INT,Dalou François (Jean Baptiste Schwartz) ; INT,Jousset Bernard (le commissaire Schwartz) ; INT,Barell Renée (Mme Schwartz) ; INT,Buhr Christian (un badaud) ; INT,Chauveau Philippe (un badaud) ; INT,Dupas Jean François (un badaud) ; INT,Marie François (le narrateur) |
Descripteurs | adaptation d'oeuvre ; roman (Les Habits noirs) ; association (société secrète) ; vengeance ; armurerie ; banquier ; coffre fort ; vol-infraction |
Descripteurs secondaires | Caen |
Résumé documentaire | Adaptation en 31 épisodes quotidiens, par Jacques Siclier du roman-feuilleton éponyme de Paul Féval publié à partir de 1863. L'armurier Maynotte est convaincu d'avoir cambriolé le coffre-fort du banquier Bancelle avec un brassard du XIVème siècle, retrouvé dans le "piège à voleurs" du coffre. Deux hommes connaissaient ce mécanisme : le voyageur de commerce Lecoq qui l'avait amené de Paris et Maynotte à qui Bancelle avait demandé de décorer le coffre. Mais Lecoq a un alibi et Maynotte n'en a pas. Le brassard coincé dans le piège est "la preuve" qui le mène en prison et brise sa vie. Il s'agit en fait d'un coup monté par Lecoq interposé, contre Maynotte, par "l'Habit Noir", le chef suprême d'une mystérieuse association née en Corse et qui étend ses méfaits à toute l'Europe. L'Habit Noir assume, ce faisant une vendetta familiale dont la belle Julie, la femme de Maynotte est le prétexte, mais il ne dédaigne pas l'aspect matériel. L'argent volé à Bancelle fera des petits. André Maynotte, évadé puis repris, deux fois vaincu, ayant perdu sa femme, remariée à un autre et son enfant enlevé, apprendra la vérité dix-sept ans plus tard et se vengera... |
Dispositifs | Le 14 juin 1825, à Caen, sur la place des Acacias, des badauds admirent à la devanture de l'armurier André Maynotte, un brassard (gantelet et avant-bras provenant d'une armure) de Milan du XIVème siècle, ciselé et orné de rubis. Un jeune homme étranger à la ville, Lecoq, semble s'intéresser beaucoup à Maynotte et à sa femme, la belle Julie. Le commissaire Schwartz éconduit un petit cousin, Jean Baptiste, venu de sa province à la recherche d'un emploi. Lecoq suit Jean Baptiste, l'aborde et l'emmène dîner. Lecoq est voyageur de commerce. Il vient de livrer au banquier Bancelle un coffre-fort muni d'un piège à voleurs. Il a connu autrefois Jean-Baptiste et le voyant dans le besoin, il lui offre 1000 frs en échange d'un petit service. Lecoq, qui se prétend en bonne fortune veut faire croire à son départ de Caen le soir même alors qu'il y restera pour un rendez-vous galant. Jean Baptiste lui fournira un alibi, et bien qu'il flaire une affaire louche, accepte. A la même heure, dans son arrière-boutique, André Maynotte parle à sa femme du nouveau coffre-fort du banquier Bancelle qu'il est chargé de décorer. La caisse contient plus de 400 000 frs. Toute la ville le sait. Mais le coffre-fort est ainsi fait, qu'à la première tentative d'effraction, un mécanisme se déclenche qui prend le bras du voleur. A ce moment, André entend un bruit bizarre dans la boutique... |
Société de programmes | ORTF |
Nature de production | Production propre |
Producteurs | Producteur, Paris : Office national de radiodiffusion télévision française, 1967 |
Base | Archives TV Pro |