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| ID Notice | 3538846.001 |
| Titre propre | L'Affaire Ben Barka : 1ère partie |
| Chaîne de diffusion | France 2 |
| Date de diffusion | 21/01/2008 |
| Jour | lundi |
| Numéro d'épisode | 1 |
| Statut de diffusion | Première diffusion |
| Heure de diffusion | 20:49:35 |
| Heure de fin de diffusion | 22:14:37 |
| Durée | 01:25:02:00 |
| Thématique | Fiction |
| Genre | Téléfilm |
| Type de description | Episode ou partie d'un programme |
| Public destinataire | Déconseillé aux enfants |
| Générique | REA,Sinapi Jean Pierre ; SCE,Labib Jacques ; SCE,Madral Philippe ; INT,Kelif Atmen ; INT,Abkarian Simon ; INT,Gourmet Olivier ; INT,Girardot Hippolyte ; INT,Stévenin Jean François ; INT,Dulery Antoine ; INT,Le Coq Bernard ; INT,Derangère Grégori ; INT,Giovaninetti Arnaud ; INT,Dupuis Jean Michel ; INT,Metalsi Abdelhafid ; INT,Salem Lyes ; INT,Lochet Bruno ; INT,Gouram Zakariya |
| Descripteurs | Paris ; militant ; Marocain ; scandale politique ; assassinat politique ; enlèvement ; Ben Barka Mehdi |
| Chapeau | Premier volet du téléfilm de Jean Pierre Sinapi sur l'enlèvement de Medhi Ben Barka et le scandale politique qui secoua le monde politique en France et au Maroc. Dans un contexte de guerre froide et de décolonisation, Medhi Ben Barka prend part à tous les combats et est considéré comme le chef de file de l'opposition au roi Hassan II. Surveillé par de nombreux services secrets, pris pour cible par une série d'attentats, il se rend en 1965 à Paris sans aucune protection, pour rencontrer un journaliste et un producteur afin de discuter de la préparation d'un documentaire sur les mouvements de la décolonisation. Lorsqu'il arrive au lieu de rendez vous, deux policiers français l'interpellent. Sa disparition est anoncée par la presse trois jours plus tard. |
| Résumé producteur | Le 29 octobre 1965, peu après 12H30, le chef de file de l'opposition de gauche au Roi du Maroc Hassan II, Medhi Ben Barka, est interpellé devant la brasserie Lipp par deux policiers français, Souchon et Voitot, et un agent du Service français de Contre-Espionnage, Lopez. Ben Barka a ce jour là rendez-vous avec un journaliste, Bernier, un producteur de cinéma, Figon et un réalisateur, Georges Franju, pour y déjeuner et envisager avec eux la préparation d'un film documentaire anticolonialiste, dont il a accepté d'être le conseiller politique. Marguerite Duras a été pressentie pour écrire le commentaire du film, et a déjà donné son accord. Si Ben Barka est intéressé par le projet, ce n'est pas seulement pour mettre en lumière le rôle qu'il joue dans l'opposition marocaine, mais parce qu'il est aussi une figure de proue du mouvement anticolonialiste dans le monde. À ce titre, il doit présider la prochaine Conférence Tricontinentale (réunion des mouvements de libération d'Amérique du Sud, d'Asie et d'Afrique) qui doit avoir lieu à La Havane. Exilé par le Roi du Maroc, il vit habituellement entre Le Caire et Genève, et, bien qu'il ait déjà été la cible de plusieurs attentats au Maroc ou en Suisse, il se sent suffisamment en sécurité en France pour n'avoir demandé aucun service de protection depuis son arrivée le matin même à Orly par une Caravelle en provenance de Genève. Ben Barka se dirige donc vers la brasserie Lipp en compagnie d'un étudiant marocain, Azzemouri, censé l'assister dans la préparation du film, lorsque les deux policiers l'interpellent sur le trottoir et déclinent leur identité. Les deux hommes écartent l'étudiant pour échanger quelques mots en aparté avec le leader marocain. Ce dernier revient vers l'étudiant pour lui demander de l'excuser auprès des personnes qui l'attendent dans la brasserie. Il est obligé de se rendre d'urgence à un rendez-vous. Azzemouri le voit monter de son plein gré dans la voiture des deux policiers, qui s'éloigne. Mais, au lieu d'entrer dans la brasserie prévenir de l'empêchement de Ben Barka, l'étudiant semble soudain pris de panique et se sauve en courant dans la rue de Rennes. Plus jamais on ne reverra publiquement Ben Barka vivant. Trois jours plus tard, la presse annonce l'enlèvement et la disparition du leader marocain. L'un des plus grands scandales de la Vème République a commencé. |
| Société de programmes | France 2 |
| Nature de production | Pré achat de droit de diffusion |
| Producteurs | En association avec, Paris : France 2, 2008 ; Producteur, Paris : Scarlett Production, 2008 |
| Extension géographique | National |
| Couleur | Couleur |
| Doc. d'accompagnement | Dossier de presse;Fiche d'émission;Fiche technique |
| Sélection DL | O |
| Numéro DL | CL T 20080121 FR2 16h |
| Base | Dépôt Légal TV |
| Fonds | France 2 Production |
| Titre matériel | [Journée de captation France 2 du 21 janvier 2008] |
| Numéro ISAN | 0000-0002-2438-0000-T-0000-0000-O |